Sont présentées ici quelques unes des maladies des cochons nains, mais dans tous les cas, consultez au plus vite votre vétérinaire ! <
- La peste porcine africaine
- La gale,
- les infections respiratoires / pneumonies,
- la rhinite atrophique (rare),
- le rouget,
- la dippity (nom anglais) ou érythème multiforme,
- les ulcères,
- les problèmes urinaires dont la les crises de cystite ou pyélonéphrite,
- l’arthrose,
- la cécité,
- la constipation et / ou les vomissements,
- les intoxications, dues à un excès de nourriture, au sel, à la vie dans un milieu artificiel, aux plantes toxiques
La peste porcine africaine
[Mise à jour : 17/10/18]Cette maladie très contagieuse et mortelle touche les sangliers et les cochons. Il n’y a pour l’instant aucun traitement et aucun vaccin disponible. Des cas ont été détectés sur des sangliers en Belgique et à la frontière franco-belge en 2018 et 2019.
En savoir plus sur la pste porcine africaine
Précautions à prendre pour les familles ayant un cochon chez elles :
– Empêcher tout contact entre votre cochon et les sangliers en double clôturant vos pâtures enclos et jardin afin que votre cochon ne puisse pas s’approcher d’un sanglier à travers la clôture.
– Limiter le contact de votre cochon par des personnes extérieures
– Evitez de vous balader en forêt, ou si vous y aller, changez de chaussures avant de rentrer chez vous et éviter de balader votre chien en forêt également car par transfert vos chaussures ou votre toutou peut ramener le virus chez vous.
– Si vous vivez dans une famille qui n’est pas encore végétarienne ou vegan, c’est le moment ou jamais de le devenir : le virus peut se trouver dans la viande de porc et la charcuterie et rester présent plusieurs mois dans votre frigidaire. Vous pouvez le transmettre à votre cochon.
Les autorités viennent de rendre obligatoire à partir du 1er novembre 2018 la déclaration et l’identification de son cochon même si vous n’en avez qu’un…
Croisons les doigts pour que la maladie ne se répande pas car des mesures « d’abattage préventif » de cochons sont à craindre dans les zones touchées… 4000 porcs sur la zone touchée en 2018 en Belgique ont été abattus « en prévention »…
Voila un lien vers le site internet du ministère de l’agriculture qui bien sûr ne parle des cochons qu’en tant que ressource alimentaire et traite le sujet qu’en termes économiques, mais il donne quelques infos sur la maladie, sa propagation et la prévention.
La gale
Si votre cochon se gratte beaucoup, il a peut-être la gale. Attention, c’est une zoonose, maladie transmissible à l’homme !
Sa peau est rouge, ses poils perdent leur éclat. Il finit par avoir de grosses pellicules et il perd ses couleurs.
Pas de panique, ce n’est pas grave : le vétérinaire lui fera deux injections espacées de 15 jours d’un produit anti-parasitaire (Ivomec par exemple).
Au bout de 3-4 jours, il devrait moins se gratter. Il retrouvera ses couleurs au bout de quelques semaines. Pour l’aider à retrouver plus rapidement une belle peau, vous pouvez lui appliquer de l’argile.
Les infections respiratoires / pneumonies
Les cochons sont sensibles aux infections respiratoires.
Si votre cochon respire mal, s’il tousse régulièrement (surtout lors d’efforts), s’il vous semble qu’il a les voies respiratoires encombrées (léger râle à la respiration), il a peut-être une infection des voies respiratoires. Amenez-le chez le vétérinaire qui écoutera pour localiser le problème. En général, il s’agit des voies respiratoires supérieures (près de la sortie). Il suffit de quelques jours d’antibiotiques et tout est réglé
L’été, s’il fait sec, il se peut que ce soit simplement de l’irritation, due à la poussière et la sécheresse. Une injection peut soulager votre animal.
La rhinite atrophique
Infection respiratoire. Les cochons y sont très sensibles et c’est pourquoi il est important de faire vacciner votre animal contre cette maladie.
Le rouget
Le rouget est une maladie infectieuse de la peau. Vous ne devriez pas être confronté à cette maladie car votre animal étant vacciné il n’y a donc normalement aucune raison de l’attraper, à moins que votre animal n’ait contractée cette maladie avant d’arriver chez vous (par transmission de la mère ou par contact avec un autre cochon malade).
Les crises de Dippity ou érythème multiforme
Cette maladie est spécifique aux cochons nains. Elle n’est pas mortelle mais elle est assez spectaculaire.
Les causes ne sont pas clairement définies. Photosensibilité (exposition au soleil, avec coup de soleil ou non), stress, changement soudain d’environnement, etc…)
- Apparition quasi-spontanée de plaques suintantes / sanguinolentes le long de la colonne vertébrale du cochon. Les plaques (de forme ovale) s’étendent de façon transversale.
Faiblesse des membres postérieurs : Lorsque le cochon marche, il peut d’un coup s’écrouler comme si ses postérieurs ne pouvaient plus le porter. Les postérieurs partent en arrière et son ventre touche le sol. Cris de douleur
Une crise de DIPPITY peut être accompagnée d’un ou des trois symptômes. Plaque sans faiblesse des postérieurs ; faiblesse des postérieurs sans plaque et sans douleur apparente, etc…
Une crise de DIPPITY dure deux-trois jours environ. Les symptômes disparaissent aussi spontanément qu’ils sont apparus et ce quel que soit le traitement administré.
Il semble que le meilleur traitement soit de mettre le cochon dans un endroit calme qu’il connaît, de petite taille pour qu’il ne marche pas trop (quand il marche il s’écroule, a mal, et cela augmente le stress et entretient la crise). Il faut que cet endroit soit à l’abri du soleil. On peut lui donner un traitement contre la douleur.
Cette maladie (spécifique cochon nain) n’a pas fait l’objet d’études poussées aux US faute de moyens financiers suffisants.
En général, ce sont les cochons entre 0 et un an qui sont sujets à ce type de crises. Les cochons peuvent faire une crise isolée ou différentes crises successives ou espacées ! Il n’y a aucune règle…
Une fois la crise passée, le mieux est de faire vivre votre cochon normalement. Vu qu’on ne connaît pas vraiment les causes, il n’y a aucun type de prévention possible…
Les ulcères
Les cochons sont très facilement sujets aux ulcères. Les causes peuvent être variées, voici les principales :
- Une anorexie de plus de 24 heures. Un cochon qui tombe malade refusera de manger. En plus de soigner la maladie de départ il est important de soigner en même temps l’ulcère déclenché par l’anorexie.
- Un régime alimentaire non approprié (d’où l’importance de nourrir les cochons avec un aliment spécial cochon nain)
- Les parasites
Le manque de fibres prédispose souvent le cochon aux ulcères. C’est pourquoi il faut qu’il mange, en plus de leur alimentation spéciale cochon nain, des légumes, de l’herbe ou du foin.
Les problèmes urinaires
Obstructions du canal urinaire, calculs, sont assez répandus chez le cochon nain. C’est une cause importante de mortalité chez le cochon nain. L’eau a un rôle très important à jouer dans la prévention de ces maladies (voir le chapitre eau de ce document).
Les crises de cystite et de pyélonéphrite
La cystite est une inflammation de la vessie et la néphrite une inflammation du rein. Ces inflammations sont dues à des bactéries.
Cette maladie est une cause de mortalité importante chez les femelles non stérilisées. Elle peut être accompagnée ou non d’une infection de la vulve. Les femelles peuvent mourir rapidement ou mal répondre aux traitements, ou être atteintes périodiquement de cette maladie. C’est très soudain, sans signe précurseur et la mort survient parfois sans qu’aucun signe de cette maladie ne se soit manifesté. Si les urines deviennent alcalines, alors les bactéries se développent plus rapidement.
Symptômes : difficulté à uriner (jet non continue, position pour uriner mais pas de jet) ou au contraire incontinence.
Comportement d’une femelle cochon malade : elle ne mange pas, est maigre, a les yeux rouges ; la région de la vulve est mouillée et des saignements ou du pus peuvent être présents. Des petits dépôts peuvent être trouvés dans leur queue. Les cochons souffrent, et peuvent grincer des dents. Le simple fait d’uriner est très douloureux.
Les causes peuvent être une trop faible quantité d’eau absorbée, un endroit trop petit forçant le cochon à s’asseoir comme un chien et ainsi contaminer la vulve rapidement…
Le diagnostic est basé sur des signes cliniques et la présence de sang et/ou de pus dans les urines. Il est important d’apporter à votre vétérinaire un échantillon des urines de votre animal pour qu’il fasse un test (sinon il prélèvera lui-même). Les animaux infectés ont des protéines et du sang dans leurs urines.
L’arthrose
Cette maladie peut toucher tous les cochons même si les symptômes apparaissent en général chez les cochons adultes et vieillissants. Ce sont particulièrement les coudes qui sont le plus gravement touchés car la majeure partie du poids des cochons est portée par l’avant main.
Cette maladie se manifeste par des boiteries et des douleurs de « déblocage » (le matin au réveil et après une sieste ou des douleurs liées au froid et à l’humidité). Les cochons peuvent, pour essayer de se soulager, adopter des postures anormales telles qu’une courbure extrême du dos et/ou une bascule du poids de leur corps sur l’arrière de leurs pieds – ils essayent ainsi de soulager les parties atteintes du poids de leur corps.
Les cochons obèses sont forcément plus prédisposés que les autres.
Les articulations sont abîmées par le fait de monter et encore plus de descendre des escaliers, ne serait-ce que quelques marches : cela donne un terrain favorable à l’arthrose.
C’est pour cela qu’il vaut mieux leur faire utiliser des plans inclinés de faible pente dès leur plus jeune âge. Le mieux étant bien sur de les faire évoluer sur un terrain complètement plat et souple pour amoindrir leurs douleurs.
Il est important de noter que le cochon cachera les symptômes de sa maladie le plus longtemps possible – comme tout animal de proie, il essayera de cacher toute faiblesse physique pour survivre le plus longtemps possible. Ce n’est donc pas parce qu’il n’a pas l’air de souffrir qu’il n’a pas de douleur.
L’arthrose ne se soigne pas, c’est pourquoi la prévention est primordiale, et nécessite la mise en place de traitements préventifs à partir de l’âge de quatre-cinq ans. Une fois les premiers signes de gêne apparus, on peut soulager la douleur par des médicaments adaptés.
Votre vétérinaire vous conseillera dans la mise en place des traitements préventifs, ainsi que dans les protocoles anti-douleurs à donner à votre animal, en fonction de son degré de souffrance.
Vous pourrez contactez l’association GroinGroin pour des infos complémentaires sur les compléments nutritionnels aidant à retarder l’apparition de l’arthrose.
* Conférence du Dr Kristie MOZZACHIO, séminaire cochons nains à l’école vétérinaire de Knoxville, Tennessee, octobre 2005
La cécité
Il y a un très grand risque de cécité chez le cochon obèse : des poches de graisse se forment autour des yeux et ferment petit à petit les paupières. Votre cochon peut perdre la vue de façon définitive : la lumière ne pouvant plus arriver jusqu’à la rétine, cela causera des dommages irréversibles.
Il est indispensable de surveiller le poids de votre compagnon.
La constipation
Les cochons sont facilement sujets à la constipation. C’est pour cela qu’il est important de donner une alimentation riche en fibres, et les laisser brouter de l’herbe plusieurs heures par jour (l’herbe mouillée n’est pas dangereuse !)
Si votre cochon est constipé depuis 24 heures, ce n’est pas normal : consultez votre vétérinaire. Vous pouvez lui faire avaler de l’huile de paraffine (à raison de 2 ml de paraffine pour 5 kilos). Au bout de quelques heures, il devrait évacuer. Si ce n’est pas le cas ou s’il se constipe à nouveau, consultez un vétérinaire. Attention, l’huile de paraffine ne doit être utilisée qu’occasionnellement.
Les vomissements
Les vomissements peuvent être le signe de beaucoup de chose : gastrite, occlusion intestinale, intoxications diverses… Ne prenez pas de risque et emmenez votre cochon chez votre vétérinaire immédiatement. Souvenez-vous, les cochons montrent peu de signes extérieurs de maladie : quand ils le font, il ne faut pas traîner…
Les intoxications
Les intoxications ont des causes diverses :
- excès de nourriture,
- sel,
- vie dans un milieu artificiel (produit d’entretien, matériaux non comestibles),
- ingestion de plantes toxiques
Dans tous les cas de figure, appelez de suite votre vétérinaire ou le centre anti-poison (04 78 87 10 40). Donnez le nom et la composition du produit ingéré, la quantité, l’heure de l’ingestion, le poids et l’âge de votre animal.
Si vous ne savez pas ce que votre cochon a ingéré, il peut être utile de collecter un échantillon de ses urines et selles les plus récentes et de les amener à votre vétérinaire en même temps que votre animal.
Gardez votre animal au chaud durant le transport.
La prévention reste le meilleur des remèdes : rangez hors de portée tout produit ou nourriture potentiellement dangereux pour votre animal
Intoxications dues au sel
Les intoxications au sel touchent les cochons de tout âge et ont pour cause un accès à l’eau limité. Le taux normal de sel dans l’alimentation des cochons (0.4-0.5%) devient toxique en cas de privation d’eau. la meilleure des préventions est de vous assurer que votre cochon a accès en toute circonstance à un point d’eau fraîche facilement accessible.
Tous les cochons peuvent faire des intoxications au sel. Les premiers symptômes sont la perte d’appétit et la déshydratation. La première chose à faire lorsqu’un cochon ne mange plus est de vérifier ses gamelles d’eau.
Les signes d’intoxication au sel se développent entre 24 et 48 heures. Au départ, ils se manifestent le plus généralement lorsque le cochon essaye de boire et qu’à cette occasion il montre des troubles de coordination. Les signes neurologiques augmentent jusqu’à ce que votre animal erre comme s’il était aveugle. Souvent les cochons atteints se placent contre un mur, et appuient leur tête contre ce mur. Un signe très caractéristique d’une intoxication au sel est une contraction/torsion du groin juste avant une crise de convulsions. Les risques de mortalité sont grands dans l’intoxication au sel, surtout chez les très jeunes cochons.
La privation d’eau, le manque d’eau ou trop peu d’eau disponible sontes principales causes des intoxications au sel. Un taux de sel trop élevé dans les aliments ingérés comme des chips, biscuits salés, sel de table, est évidemment une autre cause…
Le diagnostique se base sur des signes cliniques et un manque d’eau. La seule façon de différencier une intoxication au sel d’une autre maladie porcine ou d’une infection de l’oreille interne est de vérifier la quantité d’eau qu’a pu ingérer le cochon.
Intoxications dues à un excès de nourriture
Les cochons ne savent pas toujours se limiter. Ils peuvent donc se mettre en danger par un excès de nourriture, d’autant plus lorsque c’est une nourriture trop riche pour eux (exemple : les croquettes de chien ou le chocolat). En fait, à haute dose, la nourriture riche est toxique.
Si votre cochon s’est goinfré, enlevez-lui tout de suite sa gamelle d’eau pour l’empêcher de gonfler et mettez le à la diète stricte pendant 48 heures. Contactez votre vétérinaire de suite et surveillez attentivement votre animal : s’il se met à gonfler de façon anormale, il faut l’emmener en urgence chez votre vétérinaire. La digestion produit des gaz et il peut être nécessaire de percer la paroi gastrique pour les évacuer. Vérifiez également sa température.
Si vous avez de l’huile de paraffine, faites-lui en avaler 10 ml tout de suite et renouvelez cette dose après 2 heures puis après 4 nouvelles heures. Cela va permettre une digestion plus rapide donc incomplète et limitera la production de gaz et le risque de toxémie. Donnez de l’eau après quelques heures, en petite quantité. Renouvelez la distribution d’eau après quelques heures encore. S’il fait chaud, il faudra de l’eau en petite quantité plus régulièrement. Le lendemain, le cochon pourra boire normalement.
Respectez surtout bien le temps de diète indiqué par votre vétérinaire !
Intoxications dues au milieu artificiel
Comme pour tous les animaux, la vie dans un milieu artificiel présente des dangers. En voici quelque uns :
Les coussins, matelas, canapés, couettes : les cochons peuvent les percer et avaler de la mousse. Cela peut les étouffer ou leur boucher l’estomac et provoquer leur mort.
Même si votre cochon n’a jamais touché à son panier, l’idée peut lui prendre un matin… Utilisez plutôt des paniers en plastique remplis de couvertures.
Les produits d’entretien, pots de peinture, huiles de moteurs, anti gel, outils etc… : les cochons n’ont pas le même avis que nous sur la question des goûts et des odeurs. De ce fait, ils peuvent consommer un produit dangereux, même si vous trouvez qu’ils sentent tellement mauvais que cela vous parait impossible.
Les médicaments : Les cochons ne savent pas lire. Ils ne savent donc pas que c’est dangereux avant d’avoir essayé. Appelez un centre anti-poison pour savoir ce qu’il faut faire.
Ne laissez jamais rien traîner au sol ou à portée de groin ! Attention à vos sacs à main, portefeuilles, porte monnaie…
Dans la maison, ne laissez pas vos bouteilles d’alcool à portée de cochon pour éviter de graves problèmes de foie et l’ingestion de bouts de verre.
Les lacets de chaussures, ficelles, sacs en plastique, jouets des enfants provoquent des bouchons si ils ingérés… et ils le seront …
Attention aux poêles à bois, cheminée, sources de chaleurs en tout genre : ils adorent se coller dessus, quitte à se brûler sévèrement.
Sécurisez votre habitat en mettant hors de portée de votre animal tout matériel, ou produit potentiellement toxique, ainsi que vos réserves de nourriture, croquettes pour chien, etc…
Intoxications dues aux plantes toxiques
Liste pour les porcins (Février 91) fournie par Le centre d’informations toxicologiques vétérinaires 04 78 87 10 40 complétée par S.DAVID, botaniste, réf. Biblio.en annexe
Les plantes notées en gras sont très vite mortelles !!!
ATTENTION, CETTE LISTE N’EST PAS EXAUSTIVE ! D’AUTRES PLANTES PEUVENT ETRE TOXIQUES EGALEMENT !
Famille | Nom latin | Nom vernaculaire | Partie toxique |
Amaranthacées | Amaranthus retroflexus | Amaranthe réfléchie | Feuille et tige |
Amaryllidacées | Narcissus sp. | Narcisse, Jonquille … | donnée non disponible |
Amaryllidacées | Pancratium maritimum | Lis maritime | Bulbe et fruit surtout |
Apiacées | Aethusa cynapium | Petite ciguë | Très toxique mais pas quand elle est sèche (dans le foin) |
Apiacées | Conium maculatum | Grande ciguë | Toutes les parties aériennes de la plante fraîche |
Apiacées | Daucus carota | Carotte | Seulement le collet |
Apiacées | Ferula communis | Férule commune | Partie aérienne et racines, surtout en début de végétation |
Apiacées | Oenanthe crocata | Oenanthe safranées | Tubercule |
Apocynacées | Nerium oleander | Laurier rose | toute la plante |
Aracées | Arum maculatum | Arum tâcheté | Toute la plante et surtout rhizomes, baies et jeunes rameaux |
Astéracées | Atractylis gummifera | Chardon à glu | donnée non disponible |
Astéracées | Cichorium intybus | Chicorée sauvage | donnée non disponible |
Astéracées | Lactuca virosa | Laitue vireuse | donnée non disponible |
Astéracées | Senecio jacobaea | Séneçon de Jacob | Toute la plante surtout lors de la végétation et période de sécheresse |
Astéracées | Xanthium strumarium | Lampourde de glouteron | donnée non disponible |
Astéracées | Xanthium strumarium ssp.italicum | Lampourde d’Italie | donnée non disponible |
Boraginacées | Heliotropium europaeum | Héliotrope d’Europe | Toute la plante en vert, surtout les feuilles |
Brassicacées | Armoracia rusticana | Raifort | donnée non disponible |
Brassicacées | Brassica napus | Colza | Toute la plante, surtout si la palnte est en fleur |
Brassicacées | Brassica nigra | Moutarde noire | Toute la plante |
Brassicacées | Brassica rapa ssp.campestris | Navette sauvage | Toute la plante |
Buxacées | Buxus sempervirens | Buis | Toute la plante, même le bois |
Caryophyllacées | Agrostemma githago | Nielle des blés | Toute la plante et les graines |
Chénopodiacées | Chenopodium album | Chénopode blanc | Toute la plante |
Chénopodiacées | Beta vulgaris ssp.vulgaris | Betterave | Feuilles, collet et racines |
Cucurbitacées | Bryonia dioica | Bryone dioïque | Toute la plante surtout baie et rhizome |
Dioscoréacées | Tamus communis | Tamier commun | Baie et tubercule |
Euphorbiacées | Ricinus communis | Ricin | Graines |
Fabacées | Coronilla varia | Coronille variée | Fleurs et graines |
Fabacées | Lathyrus aphaca | Gesse sans feuille | Graines |
Fabacées | Lathyrus sativus | Gesse cultivée | Graines |
Fabacées | Lupinus sp. | Lupins | Toute la plante et surtout les graines |
Fabacées | Melilotus sp. | Mélilots | Parties moisies de plante |
Fabacées | Phaseolus lunatus | Haricot de Java | Surtout les graines |
Fabacées | Phaseolus vulgaris | Haricot commun | Surtout les graines |
Fabacées | Robinia pseudoacacia | Robinier faux acacia | Ecorce et jeune pousse |
Fabacées | Trifolium pratense | Trèfle de sprés | Peu toxique |
Fabacées | Trifolium subterraneum | Trèfle souterrain | Toute la plante |
Fabacées | Vicia ervilia | Lentille bâtarde | donnée non disponible |
Fagacées | Quercus petraea | Chêne sessile | Glands verts et feuilles |
Fagacées | Quercus robur | Chêne rouvre | Glands verts et feuilles |
Hippocastanacées | Aesculus hippocastanum | Marronnier commun | donnée non disponible |
Hyacinthacées | Drimia maritima | Scille maritime | Surtout le bulbe |
Hypéricacées | Hypericum perforatum | Millepertuis commun | Toute la plante, et surtout la fleur en début de végétation |
Iridacées | Iris pseudacorus | Iris jaune | donnée non disponible |
Liliacées | Colchicum autumnale | Colchique d’automne | Graines et toute la plante (fraîche ou sèche), corme (bulbe écailleux) |
Linacées | Linum usitatissium | Lin cultivé | Surtout la graine |
Malvacées | Gossypium herbaceum | Cotonnier indien | Surtout la graine |
Phytolaccacées | Phytolacca americana | Raisin d’Amérique | Toute la plante |
Polygonacées | Fagopyrum esculentum | Sarrasin | Toute la plante en vert, surtout les feuilles |
Polygonacées | Rheum rhaponticum | Rhubarbe sauvage | donnée non disponible |
Polygonacées | Rumex sp. | Oseille | Toute la plante |
Renonculacées | Aconitum napellus | Aconit Napel | Toute la plante et surtout racines |
Renonculacées | Adonis microcarpa ssp.microcarpa | Adonis à petits fruits | donnée non disponible |
Renonculacées | Helleborus sp. | Hellébores | Toute la plante même sèche et rhizome |
Rosacées | Prunus arasifera ssp.cerasifera | Cerisier noir | donnée non disponible |
Rosacées | Prunus domestica | Prunier | donnée non disponible |
Rosacées | Prunus laurocerasus | Laurier cerise | Feuilles et graines |
Rosacées | Prunus virginiana | Cerisier de Virginie | donnée non disponible |
Scrofulariacées | Digitalis sp. | Digitales | Toute la plante et surtout les feuilles |
Solanacées | Atropa belledonna | Belladone | Toute la plante et surtout feuilles bas |
Solanacées | Datura ferox | Stramoine épineuse | donnée non disponible |
Solanacées | Datura stramonium | Stramoine commune | Toute la plante |
Solanacées | Hyoscyamus niger | Jusquiame noire | Toute la plante |
Solanacées | Nicotiana tabacum | Tabac | Toute la plante, feuilles vertes ou séchées |
Solanacées | Solanum dulcamara | Douce-amère | Toute la plante et surtout les baies |
Solanacées | Solanum nigrum | Morelle noire | Toute la plante |
Solanacées | Solanum tuberosum | Pomme de terre | Parties vertes de la plante et fruits |
Taxacées | Taxus baccata | If commun | Toute la plante même sèche |
Thyméléacées | Daphne laureola | Daphné lauréole | Toute la plante et surtout baie et écorce |
Thyméléacées | Daphne mezereum | Daphnée bois-gentil | Toute la plante et surtout baie et écorce |
Fougères | |||
Dryoptéridacées | Dryopteris filix-mas | Fougère mâle | Toute la plante |
Hypolépidacées | Pteridium aquilinum | Fougère aigle | Toute la plante même sèche |
Champignons | |||
Clavicipitacées | Clavicens purpurea | Ergot de seigle |
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Les rubriques du chapitre Santé donnent quelques informations et conseils concernant la santé des cochons nains mais cela ne remplace en rien une consultation chez un vétérinaire !
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